Le journal de BK

BENZEMA, HAKIMI, STADE RENNAIS, LEWANDOWSKI… TOUTES LES INFOS A RETENIR !

La Team BK met en avant les principaux moments vécus en ce milieu de semaine sur la Planète Football. A l’affiche, Karim Benzema au top de sa forme et Achraf Hakimi dans le rôle du sauveur !

Par Rédaction 24 septembre 2021

Le chiffre : 200

Les qualificatifs manquent et ne suffisent pas pour décrire le niveau actuel de Karim Benzema (33 ans, 6 matchs et 8 buts en Liga cette saison). Face à Majorque (6-1) ce mercredi, dans le cadre de la 6e journée de Liga, le buteur français a inscrit un doublé, lequel lui a permis d’atteindre la barre symbolique des 200 buts dans le championnat espagnol, qu’il a rejoint en 2009 !

Image

Mais ce n’est pas tout, car l’ancien Lyonnais a également délivré deux passes décisives à son coéquipier Marco Asensio, auteur d’un triplé. Au total, KB9 se retrouve donc directement impliqué sur 15 buts de son équipe depuis le début de saison… et aucun joueur n’avait jamais réussi telle prouesse au 21e siècle après six journées, selon Opta.

Heureusement que le débat sur sa présence en équipe de France n’existe plus…

Image

L’exploit : Le doublé d’Hakimi !

Achraf Hakimi a été l’un des grands acteurs du succès (1-2) du Paris Saint-Germain mercredi sur la pelouse du FC Metz. L’international marocain a inscrit un doublé.

Pour la 7e journée de Ligue 1, le leader PSG se déplaçait sur la pelouse de Metz, la lanterne rouge. Même si sur le papier l’opposition paraissait déséquilibrée, dans le contenu, les choses ont été difficiles pour les parisiens. Les Parisiens ont été sauvé par un Achraf Hakimi très entreprenant, auteur d’un doublé, dont un joli but à la 95e minute. Une nouvelle confirmation de l’excellent début du latéral droit marocain.

“On a lutté, on a travaillé et on a pris les trois points. On est heureux d’avoir réussi. Il y a une équipe qui joue à sa façon, de manière défensive. Mais on était tranquille. On n’a juste pas réussi à marquer nos nombreuses occasions. Oui, on a du mental. Le foot, ce n’est pas juste 90 minutes, c’est avec le temps additionnel. On est compétitif jusqu’au coup de sifflet final et il faut profiter de cette victoire”, a apprécié la recrue estivale au micro de Canal+ Sport.

Les buts : Florilège de Golazos lors d’un match de MLS !

Les médias français ne mettent pas souvent en avant la MLS (championnat de l’élite Américaine) et pourtant la qualité du jeu s’améliore d’année en année, en témoignent les 5 sublimes buts inscrits lors d’un seul et même match opposant Atlanta United FC à DC United. Les spectateurs du stade Mercedes-Benz Stadium (Atlanta, Georgia) n’en sont toujours pas revenu, eux qui ont assisté à un spectacle offensif digne des meilleurs clubs européens ! Attention à vos yeux en visionnant la séquence ci-dessous…

Le fait marquant : Rennes cartonne face à Clermont

Et dire qu’avant la réception de Clermont, ce mercredi, les Rennais n’avaient inscrit que trois buts en six journées, soit la pire attaque du championnat. En 90 minutes, les joueurs de Bruno Genesio ont marqué deux fois plus de buts que depuis le début de la saison. Contre le promu, les coéquipiers de Benjamin Bourigeaud ont parfaitement lancé leur affaire, grâce à l’ouverture du score de Jonas Martin (32’). Ensuite, Terrier, Sulemana par deux fois, Laborde puis Tait y sont allés également de leur réalisation. Les Rennais n’avaient plus gagné 6-0 depuis le 24 janvier 1965. Un succès acquis à l’époque face à Angers Sco.

Du côté des Stars : Lewandowski honoré, Ronaldo le mieux payé !

L’attaquant du Bayern Munich Robert Lewandowski a reçu mardi le Soulier d’or qui récompense depuis 1968 le meilleur buteur des championnats européens, et remercié son épouse, qui est aussi son coach de motivation personnel.

Image

Ce trophée couronne la saison époustouflante du canonnier polonais de 33 ans, qui a battu en 2020/21 un très vieux record, celui du nombre de buts marqués par un joueur en une saison en Bundesliga : avec 41 unités (en 29 matches effectivement disputés), il a dépassé Gerd Müller, qui le détenait depuis 49 ans avec 40 buts inscrits au cours de la saison 1971/72.

Deuxième joueur de Bundesliga à remporter la récompense

Cette saison, le meilleur joueur Fifa 2020 a déjà marqué sept fois en cinq journées. Je dois remercier mon épouse, elle est un grand soutien pour moi et une motivation, lorsque les choses vont un peu moins bien, a-t-il dit lors de la cérémonie organisée dans le musée du Bayern, à l’Allianz Arena de Munich.

Ancienne internationale polonaise de karaté, Anna Lewandowski est également nutritionniste et prend soin de l’alimentation de son champion de mari. Je suis très fière de lui, a-t-il répondu aux compliments de son époux, “il est extraordinaire comme personne, comme athlète, comme partenaire, comme ami et comme mari”.

Retour à Manchester United et retour en haut de la pyramide. Depuis qu’il a retrouvé les Red Devils et Old Trafford, Cristiano Ronaldo est de nouveau le footballeur le mieux payé au monde. Selon le magazine Forbes, la star portugaise devrait toucher 125 millions de dollars avant impôts lors de la saison 2021-2022.

Cette somme comprend les 75 millions de dollars de salaire annuel et prime à la signature, mais aussi les 55 millions qui découlent de ses contrats de sponsoring avec Nike ou Herbalife, et des revenus liés à sa marque, CR7.

Cristiano Ronaldo est donc repassé devant Lionel Messi, qui occupe désormais la deuxième place du classement. La recrue parisienne devrait gagner 110 millions de dollars, entre ses 75 millions de dollars de salaire annuel et ses 35 millions liés à ses différents partenariats.

Sur la plus petite marche du podium, on retrouve Neymar, suivi de Kylian Mbappé. Les deux joueurs du PSG devancent les attaquants de Liverpool, Mohammed Salah, et du Bayern Munich, Robert Lewandowski. Exilée au Japon, la légende du Barça Andrés Iniesta complète le top 10, aux côtés de Paul Pogba à la huitième place et enfin Gareth Bale et Eden Hazard.

La citation : 

“Le travail individuel permet de gagner un match mais c’est l’esprit d’équipe et l’intelligence collective qui permet de gagner la coupe du Monde.”

Aimé Jacquet, né le à Sail-sous-Couzan (Loire), est un ancien joueur et entraîneur international français de football. Il est notamment connu pour avoir remporté la Coupe du monde de football 1998 en tant que sélectionneur de l’équipe de France.

Enfant, Aimé Jacquet joue dans le club de son village natal, l’US Couzan, avant de rejoindre l’AS Saint-Étienne. Il fait partie de la dernière génération des footballeurs travailleurs : il alterne avec son métier d’ouvrier à l’usine et de footballeur. Devenu par la suite professionnel, il est titulaire au milieu de terrain avec les « Verts » sous la houlette de Jean Snella puis d’Albert Batteux qui vont marquer sa carrière de joueur. Disciple consciencieux et appliqué de ces deux entraîneurs charismatiques du championnat de France, Aimé Jacquet joue un rôle de régulateur sur le terrain et se porte garant du bon équilibre de l’équipe qui remporte de nombreux trophées. Avec l’équipe de France, il ne connait que deux brèves sélections en 1968 sous l’ère Louis Dugauguez. En 1973, il part jouer chez le rival voisin : l’Olympique lyonnais. Après deux saisons, il raccroche les crampons en 1975.

Un an après avoir mis fin à sa carrière de joueur, Aimé Jacquet s’engage dans celle d’entraîneur. Il prend la tête de l’Olympique lyonnais durant quatre ans, puis répondant à l’appel du président Claude Bez, il devient l’entraîneur des Girondins de Bordeaux qu’il mène aux plus grands succès nationaux. Après neuf saisons, il est remercié et traverse une période délicate, où il est accueilli tour à tour par le Montpellier HSC et l’AS Nancy-Lorraine, sans parvenir à s’acclimater.

Son intégration à la Direction technique nationale (DTN) lui permet de relancer sa carrière et de se mettre à nouveau au service du football français. Adjoint de Gérard Houllier, sélectionneur de l’équipe de France lors des éliminatoires pour la coupe du monde 1994, il accepte le de prendre les commandes d’une sélection en crise qui n’est pas arrivée à se qualifier pour le mondial 1994. Il réussit une campagne de qualifications pour l’Euro 1996 marquée par une série d’invincibilité de trente matchs sans défaite (accompagnée du record 10 à 0 contre l’Azerbaïdjan). Les « Bleus » échouent aux tirs au but de la demi-finale de l’Euro 1996 et entament la préparation pour la Coupe du monde 1998 qu’elle dispute à domicile. Aimé Jacquet assume son jeu défensif, sujet de vives critiques, avant qu’il ne porte l’équipe de France au sommet de sa gloire à la suite de la victoire en finale le 12 juillet 1998 contre le Brésil.

Il devient directeur technique national jusqu’en décembre 2006, temps durant lequel il opte pour une politique de repérage des jeunes précoces. Entraîneur de l’équipe de prestige France 98, il devient par la suite consultant et commente certaines soirées de football sur Canal+.

 

Rendez-vous lundi prochain pour le Journal de BK N°8.