Les meilleurs U21

On a kiffé : Nathan Yavorsky, gardien de l’US Saint-Malo (N2)

Composée d’observateurs avertis du football U21 (joueurs nés après le 1er janvier 2001), la Team BK vous propose un zoom quotidien sur un joueur talentueux qui s’est mis le plus en valeur le week-end précédent. Recruteurs, agents, coachs, suivez-nous sans modération tout au long de l’année !

Par Rédaction 13 septembre 2022

 

NATHAN YAVORSKY

Né le : 19 juin 2001 (21 ans)

A : Rennes (35)

Poste : Gardien de But

Taille : 1m82

Clubs : Cercle Paul Bert Bréquigny (2008-2010) – Stade Rennais FC (2010-2015) – Cercle Paul Bert Bréquigny (2015-2017) – US Avranches Foot (2017-2018) – Tours FC (2018-2019) – ESTAC Troyes (2019-2020) – US Saint-Malo (depuis juillet 2020)

Stats N2 2022-2023 : 4 matches (4T)

https://www.letelegramme.fr/images/2021/02/08/nathan-yavorsky-j-ai-toujours-eu-envie-de-defendre-le_5523017_676x450p.jpg

A l’image de Navas et Donnarumma au PSG, Nathan Yavorsky a eu le droit à un turnover avec Théo Louis la saison passée dans le but de l’USSM (18 titularisations). En ce début de saison 2022-2023, il a convaincu son coach d’en faire son numéro un indiscutable. Choix payant, à l’image de son clean sheet obtenu le week-end dernier sur la pelouse de Blois (0-0), le second après celui face à Chartres. Grâce à ses bonnes performances, la défense bretonne n’a encaissé que 3 buts en 4 matches (soit la 2e meilleure du groupe A). Son père, gardien à Saint-Brieuc et Guingamp, ne voulait pas voir son fils suivre le même chemin, mais il lui a bien fallu se rendre à l’évidence. Dès l’âge de 6 ans, Nathan Yavorsky montrait des signes encourageants pour devenir le dernier rempart en football. Lui-même en convient : « Quand j’étais joueur de champ au CPB Bréquigny, à Rennes – où il est né le 19 juin 2001 -, ça m’énervait de prendre des buts. Je voulais remplacer le gardien ! » confiait-il au Télégramme lors de son arrivée au club en 2020. Longtemps handicapé par sa « petite » taille pour être conservé chez les pros, le gardien Nathan Yavorsky prouve à Saint-Malo, du haut de ses 1,82 m, qu’il est à la hauteur des espérances placées en lui.

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